La Tremblade dont les habitants sont appelés les Trembladais et les Trembladaises, est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente-Maritime en région Poitou-Charentes. Occupant l’extrémité occidentale de la presqu’île d’Arvert, la commune de La Tremblade est un des principaux centres ostréicoles du bassin de Marennes-Oléron, en même temps qu’une station balnéaire et un spot de surf réputé. La partie septentrionale de son territoire peut être divisée en trois pôles aux activités distinctes :
- le port ostréicole de La Grève
- le quartier balnéaire deRonce-les-Bains
- le centre-ville qui fait la jonction entre ces deux entités.
Elle forme une conurbation ostréicole et touristique avec Arvert, Étaules et Chaillevette qui s’étend le long de la rive gauche de l’estuaire de la Seudre; ce qui en fait, avec 11 630 habitants en 2011, la 5e agglomération urbaine de la Charente-Maritime.
La commune, qui appartient géographiquement au Royannais, est presque entièrement couverte par un massif forestier protégé, la forêt domaniale de la Coubre. La côte sauvage, orientée plein ouest, forme une longue plage exposée aux courants et à de fortes déferlantes qui en font un des hauts-lieux du surf de la région royannaise.
la Charente-Maritime bénéficie d’un climat océanique tempéré de type aquitain, marqué par un ensoleillement moyen assez important : avec 2 250 heures par an, il est comparable à celui que connaît une partie de la côte méditerranéenne. Les températures varient en moyenne de +5 °C en hiver à +20 °C en été.
Les îles et l’ensemble du littoral de la Charente-Maritime se caractérisent par un climat particulièrement doux en hiver, et rafraîchissant l’été, grâce aux influences océaniques perpétuellement en mouvement (brise marine). Etant toujours soumises aux influences de l’océan Atlantique, ces conditions climatiques favorables ont favorisé un véritable microclimat de type sub-aquitain et l’existence d’une végétation déjà méridionale. Ainsi la flore se caractérise par la présence étonnante de lauriers-roses, eucalyptus, agaves et même les mimosas se mettent à fleurir dès le mois de janvier. Aux essences déjà méridionales du chêne vert (ou yeuse) et du cyste, s’ajoutent une forte présence depalmiers, figuiers, orangers et même oliviers. Pour autant, l’arbre-roi est ici le pin (maritime, parasol) qui s’épanouit dans la forêt de la Coubre.
Lieux et monuments
Église du Sacré-Cœur
C’est un édifice néogothique édifié à partir de 1880 afin de remplacer un ancien temple protestant. La première pierre est posée le 15 mai 1880, en présence de l’évêque de La Rochelle, Mgr Thomas. Le gros-œuvre est achevé quatre ans plus tard. Le fin clocher, surmonté d’une flèche octogonale cantonnée de pinacles, est édifié à partir de 1886
L’église, qui forme une croix latine, est constituée d’une nef divisée en six travées couvertes de croisées d’ogives quadripartites, réunies par des clef de voûtes recouvertes d’inscriptions latines. Une série de colonnes trapues, couronnées de chapiteaux corinthiens, marque la séparation entre le vaisseau principal et les bas-côtés, voûtés selon le même principe. La façade est constituée d’un clocher-porche couronné d’une fine flèche, suivant un procédé courant dans la région au XIXe siècle. Une statue du Sacré-Cœur de Jésus est située au premier étage.
Chapelle Saint-Joseph
La création du quartier balnéaire de Ronce-les-Bains au XIXème siècle impose de mettre en place des infrastructures adaptées dans tous les domaines, et notamment spirituel. La petite station balnéaire est en effet encore largement enclavée, et séparée du centre-ville de La Tremblade par une large ceinture forestière et des chemins peu engageants serpentant à travers les dunes.
En 1895, l’abbé Fanton et l’abbé Jeandeau acquièrent un terrain afin d’édifier un premier oratoire. Bien vite, il se révèle trop petit et doit être agrandi en 1908. En 1913, il est cédé au père Marchais, archiprêtre de Marennes, qui en fait don à son tour au diocèse de La Rochelle et Saintes en 1927. En 1954, alors que la station de Ronce-les-Bains connaît un important développement, la petite chapelle est de nouveau agrandie ; cependant dans les années 1960, en période estivale, il n’est pas rare que les fidèles ne puissent entrer, faute de place. En 1974, des travaux d’embellissement sont menés.
Architecturalement parlant, la chapelle Saint-Joseph garde des proportions très modestes, et est souvent ignorée des visiteurs pour cette raison, d’autant qu’elle est située dans une petite impasse et que sa façade garde un aspect austère. Seul son modeste campanile permet de la distinguer des habitations : il abrite une cloche fondue en 1806, issue de la fonderie de marine de l’Arsenal de Rochefort et sonnant le « la » bémol. A l’intérieur, la chapelle se compose d’une nef éclairée par une série d’ouvertures en demi-lunes, couverte d’une voûte lambrissée en pin maritime et pavée de dalles en terre cuite de Cadeuil. Un arc trapézoïdal sépare la nef du chœur, où se trouve un maître-autel en marbre du XIXème siècle, don de la famille Belle en 1896. Le chemin de croix a été offert à la chapelle par la famille Dières-Monplaisir.
Temple protestant
édifié en 1823 ? le temple est bâti en pierre de taille de Saint-Savinien, il forme une vaste salle rectangulaire divisée en trois travées. La façade, d’une grande sobriété, animée de deux oculi ménagés de part et d’autre d’une porte encadrée de deux colonnes doriques et surmontée d’un fronton triangulaire, s’inspire du néoclassicisme.
La tolérance pratiquée à l’égard des religionnaires par le maréchal de Sénecterre, baron d’Arvert, conduit à la construction d’une discrète maison d’oraison en 1757, sous la direction du « pasteur du désert » Louis Gibert. Sa situation à bonne distance de la cité rend son accès contraignant, et un nouveau lieu de culte est installé en un lieu moins excentré à partir de 1810. Dans le même temps, le consitoire envisage la construction d’un temple moderne, lançant une souscription publique à cet effet en 1820.
Du côté de la gastronomie saintongeaise est principalement axée sur trois types de produits :
- les produits de la terre
- les produits de la mer
- les produits de la vigne.
Les préparations à base de viande de porc occupent une place prépondérante dans la cuisine régionale : ainsi des gratons ou des grillons, sortes de rillettes à base de viandes rissolées et confites dans leur graisse, du gigorit (ou gigourit), un civet mêlant sang, gorge, foie et oignons, ou de la sauce de pire, à base de fressure, d’oignons et de vin blanc de pays. Les« cagouilles », le nom local de l’escargot petit-gris, est la base des recettes de la cuisine saintongeaise.
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