Mosta est l’une des villes les plus importantes du pays elle fait l’objet de plusieurs légendes urbaines. La ville est encerclée de plusieurs lieux historiques comme les remparts de Victoria construits par l’Empire britannique pour protéger l’ île des invasions venues du Nord.
L’attrait le plus connu de Mosta, ville située au centre de l’Ile de Malte, est son église, Sainte-Marie (Rotunda de Ste Marija Assunta), célèbre pour son dôme gigantesque , quatrième du monde de par sa taille.
Histoire de la ville
Cette ville est construite en 1860 sur les fondations d’une autre église datant de 1614, cette église possède des dimensions impressionnantes. Sa capacité d’accueil s’élève à 12.000 personnes, ses formes sont rondes et son intérieur peint dans des teintes claires, est très lumineux.
u cours de la Seconde Guerre Mondiale, le 9 avril 1942, une bombe larguée par les Forces de l’Axe, perça le dôme et tomba sur le sol sans exploser. Fait extraordinaire au moment de l’impact, l’église était pleine de fidèles venus prier en ces temps de guerre qui, fort heureusement, ne furent pas blessés par la chute de cet obus. Une réplique de ce dernier est conservée dans un petit musée de l’église.
Mosta et son dôme:
Le dôme de Mosta, dédié à l’Assomption, est le troisième plus grand dôme au monde. Avec 67 mètres de hauteur et 37 mètres de longueur, cet électron libre n’est soutenu par aucun ouvrage. Il est en quelque sorte indépendant du reste de l’édifice. Aussi, il a fallu 27 ans pour en achever la construction. L’église, plus connue sous le nom de rotonde Sainte-Marie, a failli être détruite lors de la Seconde Guerre mondiale – une bombe de la Luftwaffe allemande a transperçé le dôme de l’église mais sans jamais exploser, tandis que deux autres bombes ont rebondi sur le dôme avant d’atterrir dans le square sans jamais exploser elles non plus. Une réplique de la bombe a été installée à l’intérieur de l’église comme mémorial dédié à ce « miracle ».
Construite entre 1833 et 1871 sur le site d’une ancienne église, elle fut dessinée par Giorgio Grognet de Vasse, qui s’était inspiré du Panthéon de Rome.
Toujours à Mosta, la chapelle Speranza – située près de la vallée Speranza – vaut également le coup d’œil. Selon la légende, durant l’invasion turque (entre 1760 et 1761), une jeune fille – qui gardait un troupeau de moutons en compagnie de ses frères et soeurs -, n’étant pas parvenue à s’échapper à temps, aurait trouvé refuge dans une grotte où elle pria Notre-Dame. Celle-ci serait alors intervenue et aurait tissé une toile d’araignée sur l’entrée de la grotte pour la protéger. Les envahisseurs turques n’ont jamais pensé à chercher dans cette grotte puisque la toile d’araignée était intacte. Ils ne l’auraient donc jamais trouvée.