La Vallée de l’Automne, c’est tout un patrimoine culturel…Ruines gallo-romaines, abbayes, églises rurales du 11ème siècle au 19ème siècle, châteaux et manoirs. villages authentiques, fontaines, puits et lavoirs… sont autant de haltes à faire lors d’une promenade dans la vallée. Bref, c’est un milieu d’une richesse exceptionnelle, tant du point de vue de la flore que de la faune…
Cet ensemble exceptionnel a été qualifié de « véritable oasis de diversité biologique » par les chercheurs.
Prenez le temps de découvrir la diversité de la faune et de la flore locale : sur seulement 43 km carrés, la vallée recense plus de 750 espèces végétales alors que toute la Picardie en compte 1250. Sur ce nombre exceptionnel de plantes, 16 sont légalement protégées.
La faune est également très diverse, 211 coléoptères différents, 119 espèces d’oiseaux, une cinquantaine de mammifères sauvages, 7 espèces d’insectivores, 8 de carnivores, 16 de rongeurs.
C’est un petit coin plein de charme, aux accents romantiques et aux airs quelque peu nostalgiques,
A une heure de Paris, au cœur du Domaine des anciens rois, entre Villers-Cotterêts et Verberie, cette vallée est un havre de paix et un concentré de patrimoine religieux… Tant et si bien qu’elle est également appelée la vallée aux 35 clochers !
Un petit coin de paradis, car jusqu’au XIXème siècle la vie s’écoule tranquillement le long de l’Automne… Puis arrivent de nombreuses industries qui utilisent la force de la rivière, plus de 50 moulins vont ainsi apparaître dans le paysage : farine, huile, papier, scierie, tannage… Puis l’électricité ramène les industries dans les villes, la vallée redevient rurale…
Un patrimoine exceptionnel dans un cadre privilégié
doit son nom à une rivière dont le cours vagabonde à travers prés, prairies et peupleraies riches en couleurs. Quelques villages aux églises remarquables (classées MH pour la plupart) y respirent le calme et la sérénité: lieux de promenade, lieux de détente où la nature triomphante semble un défi aux temps modernes.
Le Patrimoine s’offre à vous… : ruines gallo-romaines, abbayes, églises rurales du XIe siècle au XIXe siècle, châteaux et manoirs, villages authentiques, fontaines, puits et lavoirs, rus et vallons, paysages animés du Valois. Vallée de l’Automne où l’Histoire, l’Architecture fusionnent en parfaite harmonie avec la nature prés de la riante rivière â la si jolie légende.
. Les ruines du sanctuaire gallo-romain de Champ lieu, (temple, théâtre et thermes).
. L’abside romane de l’église de Vaumoise (XIIe sicle).
. Le château d’Orrouy les rêveries de Corot (parc).
. La forteresse médiévale de Vez (châtelet et donjon).
. L’église Saint-Laurent de Rocquemont (XIIe siècle), remarquablement remise en valeur
. Le battoir des lavandières ne raisonne plus dans le lavoir de Glaignes.
. La baie axiale de l’église Saint Rémi d’Orrouy. Magnifique ensemble de vitraux du XVIe siècle, l’un des plus beaux des églises de l’Oise.
. L’extérieur d’un four à pain d’une maison de Vez, plusieurs fois centenaire.
. Crépy, capitale du Valois, â neuf kilomètres au sud de la Vallée de (Automne : Château, Musées de l’Archerie, d’Art Sacre, d’Art et Traditions populaires, bouquets de mariées, le charme des anciennes demeures et de ses vieilles ruelles.
Les attraits, la diversité des 35 clochers
. Notre-Dame de Coyolles et son porche surplombent le charmant vallon prés de la source de l’Automne.
. Saint-Léger d’Eméville avec son clocher ajouré sur chaque face ; insolite dans la région
. Saint-Martin de Vez, en contrepoint du donjon du château, beau et sobre chœur du XIIIe siècle, belles boiseries et maître autel du XVIIIe siècle.
. Exceptionnel attrait des ruines de l’abbaye royale Notre-Dame de Lieu-Restauré.La rosace flamboyante s’illumine sous les rayons du soleil couchant.
. Saint-Martin de Bonneuil-en-Valois, nef et clocher romans illuminés tors des «35 clochers ».
. Les habitants du hameau du Berval se recueillent toujours en leur charmante chapelle Saint-Antoine et Saint-Vincent.
. Saint-Denis de Fresnoy-la-Riviére possède entre autre un chœur transept d’une grande élégance et d’une rare qualité architecturale (XVIe Siècle).
. Dans le pseudo déambulatoire de Notre-Dame de Morienval, les historiens du XIXe siècle ont vu dans ses ogives primitives le frémissement de l’art gothique.
. Saint-Martin de Gilocourt et ses onze niches avec ossements et poteries posent aux amateurs éclairés une énigme. Le seul clocher en bois de la Vallée
. Notre-Dame de Glaignes domine la Vallée de la Sainte-Marie où bruissaient de nombreux moulins.
. Saint-Denis et Saint-Jean-Baptiste de Saintines, à proximité d’une fontaine aux eaux miraculeuses. Sa double nef et ses trésors rappellent les pèlerinages d’autrefois.
. Portail remarquable de l’église Saint-Vaast-de-Longmont aux voussures dites en pointe de diamant (XIIe siècle).