Carantec est une ville où tous les plaisirs ont leur place. Les choix sont multiples. Chacun peut aborder un sport en douceur ou vivre à fond ses passions : de la voile à la plongée, du tennis à la randonnée. Seul, en famille, ou entre amis : plaisirs partagés. Le plus difficile sera de choisir.
Loisirs Enfants
Club Moussaillons
Plage du Kélenn
Tél : 02 98 67 01 12
En avant les moussaillons, pour une première approche des activités nautiques et une découverte du milieu marin : voile, pêche à pied, activités manuelles…
Club De Plage
Plage du Kélenn
Inscriptions : 02 98 72 53 79 et 06 86 89 47 75
Accueille vos enfants à partir de 3 ans. Cours de natation en piscine chauffée.
Mini Tennis
Allée du Cosmeur.
Tél : 02 98 19 11 59/06 16 66 12 09
Au club de Tennis de Pen al lann. Pendant les vacances scolaires
Golf
Rue de Kergist – Tél : 02 98 67 09 14
Une école de Golf placée sous la responsabilité d’un professionnel propose aux enfants de nombreuses formules d’enseignement.
Baby sitter
L’office de Tourisme met à votre disposition Une liste de personnes pouvant garder vos enfants. 02 98 67 00 43
Au cœur de la Baie de Morlaix, Carantec vous offre un site naturel protégé d’une exceptionnelle beauté. Dans le parfum des ajoncs e des bruyères de notre côté sauvage bretonne, vous assisterez au son et lumière du soleil et de la mer. Dansez, chantez, retrouvez le vrai sens de la fête ! Les chefs Carantécois sauront vous séduire par une cuisine raffinée, inspirée de la terre et de la mer bretonnes : pays des légumes, poissons, coquillage, crustacés, huîtres …pays des crêpes, galettes et du kouign amann. Des traditions à découvrir sur les meilleures tables.
ACTIVITÉS ET LOISIRS
Pointe de Pen Al Lann
La pointe des ajoncs
En 1898, la pointe de Pen al lann est une lande pauvre, recouverte d’ajoncs et entourée par trois ou quatre fermes. En 1930, Carantec est à la mode et les tennis de la pointe des ajoncs attirent des artistes et des sportifs de renom.
Dès 1950, Parisiens et Brestois s’installent sur la pointe et l’urbanisation s’accélère en 1970.
Le sentier des douaniers
18kms de sentiers piétonniers s’étirent le long des côtés. Ils permettent aux marcheurs de découvrir le panorama exceptionnel de Ty Nord ou se dessine dans la lumière du matin, le château du taureau ; au port illuminé au crépuscule par la beauté d’un coucher de soleil. Sans oublier…Les petites criques timides à l’abri des bruyères et chênes verts, les voiles blanches se mirant dans les eaux du kélenn, « la chaise du Curé » admirant les îlots de la baie, la charme romantique de la Grève Blanche, la beauté sauvage de l’île Callot … Images inoubliables à emporter dans ses bagages pour les jours gris d’un hiver trop long.
La Réserve Ornithologique
La baie de Morlaix est l’un des plus beaux paysages marins du Finistère Nord. Ce qui frappe d’abord le regard : le nombre impressionnant de rochers, d’îlots et d’îles qui parsèment la baie. Les plus grandes de ces îles constituent la réserve de la S.E.P.N.B.
La richesse de la flore et de la faune sous-marine et la diversité des fonds marins de la Baie de Morlaix lui ont donné une réputation internationale depuis bien longtemps. L’avifaune des îles est l’objet d’observations depuis 1824.
Parc Claude Goude
Le 20 juillet 1974, Madame Jeanne Goude, venue de Monsieur André Claude fait donation de cet arboretum paysager, faisant partie d’un vaste ensemble planté dans les années 1920-1940. Résistant aux pressions spéculatives immobilières, cette femme veut ainsi préserver définitivement un espace boisé sur la « pointe des ajoncs »
Le parc est implanté sur la pointe de Pen al lann, dont l’extrémité est un site touristique et naturel de tout premier ordre. D’un point de vue botanique, le parc Claude-Goude présente une collection importante que l’on peut qualifier d’unique dans cette partie de la Bretagne.
La diversité et l’âge des espèces implantées offrent une des plus belles collection d’arbres de la région, dans un cadre remarquable. Ce parc présente dans sa partie sud, un aspect méditerranéen : arbousiers, magnolias, eucalyptus, mimosas, palmiers … Dans sa partie nord, parc boisé d’essence de nos régions. Harmonieux mélange de plantes à feuilles caduques et conifères.
PATRIMOINE
1680 – 1745 : l’Empreinte de Vauban
Avec l’arrivée de Louis XIV, l’administration militaire du Roi pris possession du Château ; son ingénieur militaire Vauban modernisa la fortification. Les travaux s’étaleront sur 45 ans environ. L’édifice construit mesure 60 m de long. 12 m de large et 12 mètres de haut pour une surface de 1450m2
1721-1871 : Une prison au milieu de la mer
Dès 1721, la forteresse est détournée de sa vocation initiale et utilisée comme prison. Après 1789, pendant la période révolutionnaire, ce ne fut plus qu’une prison politique. Après la chute du Directoire et dès l’arrivée de Bonaparte au pouvoir, le château retrouva sa vocation primitive, redevenant une place-forte au rôle purement militaire qu’il garda jusqu’à désaffectation définitive en 1889.
Discrète villégiature et espace de loisirs nautiques
Désertée par les hommes, la forteresse plonge petit dans un long sommeil. Elle fut classée monument historique en 1914, mais ses portes restent fermées. Puis la guerre éclate et le château est investi par la DCA allemande. La paix revenue, il retombe dans l’oubli. En 1960, l’association du Centre Nautique de la Baie de Morlaix installe après d’importants travaux, une école de voile, elle devient la seconde école française de voile, juste après les Glénans. Malheureusement faute de moyens, l’école fermera ses portes en 1980. En 1989, les collectivités tirent la sonnette d’alarme et se mobilisent pour sauver le château. En 1996, premier programme de restauration : 17 millions de francs. Après un XXème siècle au destin aléatoire, le château sera donc restitué au public.
Le château du taureau
1542-1680 : Un Fort Pour Protéger Morlaix
L’imposante forteresse maritime qui porte le nom de « Château du Taureau » tire cette appellation d’un petit îlot situé à la sortie de la rivière de Morlaix. Une incursion de la flotte anglaise sur la ville de Morlaix en 1522 imposa la nécessité de mettre en place un système de défense militaire à l’entrée de l’estuaire.