Barentin est une commune du département de la Seine-Maritime, située dans la région Haute-Normandie en France. Elle s’étend sur 1 274 hectares, tout en étant remarquablement située à l’intersection des grands axes routiers qui joignent Paris au Havre et Dieppe à la Vallée de la Seine. Distante de 15 km de Rouen et d’Yvetot, c’est une localité en plein essor qui s’inscrit dans le cadre verdoyant et agréable de la vallée touristique de l’Austreberthe, sans oublier qu’elle est traversée par l’Austreberthe et que ses habitants comptent 13 125 Barentinois.
Santé
- L’hôpital de Barentin, situé au centre-ville
- La maison de retraite, en centre-ville
- Un centre de convalescence aux Campeaux, quartier de Barentin, situé à côté du Hamelet. Enfin, la ville accueille
- Plusieurs médecins, dont sept dentistes, en centre-ville.
- Le Centre Médical Aristide-Briand : c’est un centre médical spécialisé au niveau de la zone commerciale. On y trouve un ophtalmologiste, une orthoptiste, un dermatologue, cardiologue, des ORL…
- Un cabinet de médecins généralistes, spécialistes et une diététicienne, qui a récemment ouvert
PATRIMOINE
- L’église Saint-Martin : elle fut édifiée entre 1855 et 1860, en vaste construction romane. Elle est construite d’après les plans de Désiré Martin et du chanoine Charles Robert, architecte du Diocèse de Rouen, dans un style néoroman. L’intérieur d’une extrême sobriété, comporte de simples voûtes sur croisées d’ogives et des arêtes sur arcs boutés. Les verrières d’origine, posées en 1856, ont été presque totalement détruites en 1944. Les panneaux actuels ont été réalisés par François Lorin, d’après des dessins de Georges Mirianon. L’un des vitraux de la façade représente le premier blason de la ville.
- La chapelle Saint-Hélier : elle fut édifiée au XVIe siècle, suivant la légende, le pape Clément VI, ancien archevêque de Rouen, ayant vendu une partie de Barentin, en réserva la jouissance viagère à ses deux nièces. Elles y auraient fondé un couvent de femmes, dont la chapelle Saint-Hélier aurait été l’oratoire. En réalité, il s’agit de l’ancienne chapelle du château seigneurial de Barentin détruit durant la guerre de Cent Ans, elle est bâtie selon un assemblage en damier de pierre blanche et silex. Son chevet remonte vraisemblablement au XIVe siècle ; le reste de l’édifice date du XVIe siècle. Le fief de Saint-Hélier devint la possession des Clémentins au milieu du XIVe siècle. Il appartient ensuite aux seigneurs de Pôville, au chevalier de Bardouville et à la famille d’Esneval.
- L’Hôtel de ville, construit par l’architecte rouennais Georges Bourienne, entre 1901 et 1906.
- La fontaine : elle est attribuée à Guillaume Coustou, et se trouve sur la place de la Libération, après avoir été réédifiée.
- Le théâtre Montdory, c’est un chef-d’œuvre de l’architecte Michel Percheron, qui fut inauguré en 1959.
- le viaducferroviaire sur la ligne Paris – Le Havre : il est conçu par l’ingénieur Joseph Locke. Ce viaduc, haut de 33 mètres et long de 480 mètres, permet de traverser l’Austreberthe et sa vallée.
- La municipalité de Barentin a poursuivi la création du « Musée dans la Ville », programme original d’installation de statuesen de nombreux points de la ville réalisé par André Marie. Elle revendique le titre de ville aux cent statues, en fait on peut y voir 160 statues. La plus célèbre est une réplique de la Statue de la Liberté de 13,5 mètres de hauteur, réalisée en polyester originellement pour le film Le Cerveau et offerte à la ville par Gérard Oury.
- Le théâtre de verdure ou des Tuileries Courvaudon : c’est l’endroit où ont été remontées, en 1956, dix-sept colonnes provenant du palais des Tuileries, qui a été incendié.