Paris se situe au cœur d’une vaste plaine fertile au climat tempéré. Ses habitants s’appellent les Parisiens.
Elle est également le chef-lieu de la région Île-de-France et l’unique commune française qui est en même temps un département. Comme les villes de Lyon et de Marseille, elle est divisée en arrondissements.
Sa position , sur une île permettant le franchissement du grand fleuve navigable qu’est la Seine par une voie reliant le Nord et le Sud des Gaules, en fait dès l’Antiquité, était et l’est toujours une cité importante,
Située au centre du territoire contrôlé par les rois Francs la fait choisir comme capitale de la France à la place de Tournai. Placée au centre d’un territoire agricole fertile avec un climat humide et doux, Paris devient une des principales villes de France au cours du Xe siècle, avec des palais royaux, de riches abbayes et une cathédrale ; au cours du XIIe siècle, avec l’Université de Paris, la cité devient un des premiers foyers en Europe pour l’enseignement et les arts
Symbole de la culture française, abritant de nombreux monuments, la ville, surnommée la ville lumière, attire dans les années 2000 près de trente millions de visiteurs par an. Paris occupe également une place prépondérante dans le milieu de la mode et du luxe ; c’est aussi une des capitales les plus visitées au monde. La ville est, avec sa banlieue, la capitale économique et commerciale de la France, ainsi que sa première place financière et boursière.
La densité de son réseau ferroviaire, autoroutier et sa structure aéroportuaire, plaque tournante du réseau aérien français et européen, en font un point de convergence pour les transports internationaux. Cette situation résulte d’une longue évolution, en particulier des conceptions centralisatrices des monarchies et des républiques, qui donnent un rôle considérable à la capitale dans le pays et tendent à y concentrer les institutions.
La Seine traverse la ville en formant un arc de cercle, y entrant par le sud-est pour en sortir au sud-ouest. Plus de trente ponts permettent de franchir le fleuve.
La ville est également traversée par la Bièvre, aujourd’hui entièrement souterraine, qui arrive du sud, et par le canal Saint-Martin (4,5 kilomètres), inauguré en 1825. Il constitue la partie terminale du canal de l’Ourcq (108 kilomètres) et du canal Saint-Denis (6,6 kilomètres), ouvert en 1821, qui permet de rejoindre la Seine en aval en évitant la traversée de la ville. Il alimente le bassin de la Villette, passe en souterrain sous les boulevards Jules-Ferry et Richard-Lenoir et la place de la Bastille, traverse le port de l’Arsenal et rejoint la Seine en amont de l’île Saint-Louis
La station Paris-Montsouris se situe à 75 mètres d’altitude dans le parc Montsouris. Elle se trouve à 4,7 kilomètres au sud-sud-ouest de l’hôtel de ville.
Paris a un climat de type océanique dégradé : l’influence océanique dépasse celle continentale et se traduit (1981 – 2010) par une température minimale moyenne de 15°C de juin à août et de 3°C de décembre à février et de 9°C sur l’année, avec des pluies fréquentes en toutes saisons (111 jours) et un temps changeant mais avec des pluies plus faibles (637 millimètres) que sur les côtes, et quelques pointes de températures (influence continentale) au cœur de l’hiver ou de l’été. Le développement de l’urbanisation provoque une augmentation de la température et une baisse du nombre de jours de brouillard
Transport
La ville de Paris dispose d’un réseau dense de lignes de bus (100 lignes) et de métro (16 lignes), mais aussi quelques autres modes de transport qui se développent progressivement, comme le tramway. Le métro est considéré comme l’un des symboles de la ville, notamment grâce à son style architectural en Art nouveau. Paris est également desservi par le RER, réseau ferroviaire suburbain qui facilite les relations à l’échelle de l’agglomération parisienne. Six grandes gares ferroviaires la relient à sa périphérie grâce à une quinzaine de lignes de chemin de fer de banlieue (Transilien), à toutes les villes de France et aux pays proches par le biais du TGV ou de trains classiques.
Paris est la deuxième ville d’Europe en trafic aérien de passagers en 2009. Les deux aéroports qui accueillent l’essentiel du trafic — Orly et surtout Roissy-Charles-de-Gaulle
La circulation routière est très dense et souvent difficile malgré les larges avenues tracées depuis le xixe siècle qui facilitèrent alors grandement un trafic déjà important à cette époque. La ville est entourée par un boulevard périphérique, autoroute urbaine la plus empruntée d’Europe. Un réseau d’autoroutes urbaines en toile d’araignée la relie aux banlieues périphériques et au reste du pays.
Le stationnement à Paris est difficile et payant dans la quasi-totalité des rues, la municipalité menant une politique de promotion du transport collectif et cycliste. La ville développe d’un réseau de pistes cyclables en augmentation constante qui atteint en 2011 700 kilomètres incluant les bandes et pistes cyclables ainsi que les couloirs de bus élargis. la mairie de Paris lance le 15 juillet 2007 un système de location de vélos en libre-service, baptisé Vélib, avec le réseau le plus dense d’Europe, 20 000 vélos fin 2007, 1 400 stations dans Paris, une tous les 300 mètres en moyenne.
En 2014, 17 636 taxis circulent à Paris. La commune a lancé le 2 octobre 2011 le système de location de voitures en libre service de courte durée « Autolib ». Ce service permet de louer un véhicule conçu spécifiquement pour cet usage : la Bluecar, voiture totalement électrique à quatre places de 3,65 mètres de longueur, dotée d’un coffre de 350 dm3 et d’une autonomie variant de 150 à 250 kilomètre.
Environnement :
Paris est la capitale la plus dense d’Europe en population. La part des espaces verts est des plus réduites, et ce malgré les parcs et jardins qui ont été créés au cours des deux dernières décennies afin de pallier cette carence, d’où une biodiversité relativement limitée. La pollution atmosphérique et le bruit constituent des problèmes de santé publique ; ils ont motivé la création de réseaux de surveillance (comme Airparif).
Morphologie urbaine
Le centre de Paris se distingue de celui de beaucoup d’autres grandes villes occidentales par la densité de sa population. Aujourd’hui, les nouveaux bâtiments de plus de trente-sept mètres, hauteur maximale admise entre 1974 et 2010, sont autorisés jusqu’à 50 m voire180 m seulement dans quelques quartiers périphériques ; la limite de hauteur est encore moins élevée dans de nombreux quartiers centraux. La tour Montparnasse(210 mètres) était depuis 1973 le plus haut immeuble de Paris et de France, jusqu’à l’exhaussement à 231 mètres de la tour First en 2011, dans le quartier de la Défense à Courbevoie. Les gratte-ciels se multiplient en proche banlieue, en particulier dans le quartier de La Défense et d’autres tours, d’une hauteur comprise entre 265 mètres et 323 mètres, y sont en projet.
La capitale et ses alentours
Les classes aisées se retrouvent dans l’Ouest et dans le Sud-Ouest et les plus populaires dans le Nord et dans l’Est. Les autres secteurs sont peuplés de classes moyennes, avec cependant des exceptions liées au site et à l’histoire des communes, comme Saint-Maur-des-Fossés à l’est et Enghien-les-Bains au nord, qui accueillent une population fortunée.
Les grands ensembles ont été édifiés durant les années 1960 et 1970 afin de loger rapidement et à bas coût une population en rapide expansion. Une certaine mixité sociale y existait à l’origine, mais l’accession à la propriété (ouverte aux classes moyennes à partir des années 1970), leur piètre qualité de construction et leur mauvaise insertion dans le tissu urbain ont contribué à les faire déserter par ceux qui le pouvaient et à n’y attirer qu’une population sans grandes possibilités de choisir : la proportion d’immigrés pauvres y est très forte.
On trouve des « quartiers sensibles » dans les arrondissements du Nord et de l’Est parisien, autour de la Goutte-d’Or et notamment de Belleville. En banlieue nord de Paris, ces quartiers sont essentiellement concentrés dans une grande partie du département de la Seine-Saint-Denis et dans une moindre mesure à l’est du Val-d’Oise. D’autres, plus épars, se trouvent par exemple dans la vallée de la Seine, en amont à Évry et Corbeil-Essonnes (Essonne), en aval aux Mureaux et à Mantes-la-Jolie (Yvelines) ou dans certains ensembles sociaux des villes nouvelles.
Certains quartiers se caractérisent par des regroupements communautaires : le quartier du Marais a la particularité d’attirer une importante communauté homosexuelle à proximité de la communauté juive ashkénaze dont l’implantation autour de la rue des Rosiers remonte au XIIIe siècle. Le 13e arrondissement regroupe quant à lui une importante communauté asiatique dans le quartier des Olympiades.
Il faut par ailleurs noter que la sociologie d’un quartier peut varier selon les heures. Celui de la place de la Bastille, par exemple, avec ses nombreux bars et lieux de vie nocturne, est animé le soir par beaucoup de jeunes tandis que, dans la journée, il jouit d’une relative tranquillité.
De la Belle Époque aux Années folles, Paris connaît l’apogée de son influence culturelle (notamment autour des quartiers de Montparnasse et de Montmartre) et accueille de très nombreux artistes tels Picasso, Matisse, Braque ou Fernand Léger. En 1956, Paris se lie à Rome par un jumelage privilégié, symbole fort dans une dynamique géographiquement plus large de réconciliation et de coopération après la Seconde Guerre mondiale avec le slogan « Seule Paris est digne de Rome ; seule Rome est digne de Paris » (en italien « Solo Parigi è degna di Roma; solo Roma è degna di Parigi »).
Manifestations culturelles et festivités
Le caractère festif de la ville est marqué depuis 2002 par les opérations de Paris Plages, organisée entre juillet et août, et qui consiste à transformer une partie des quais de Seine en plage avec transats et activités, ou de la Nuit Blanche, qui permet au public d’assister gratuitement à différentes expressions de l’art contemporain à travers la ville pendant la nuit du premier samedi au premier dimanche d’octobre.
Paris accueille tout au long de l’année de nombreuses festivités :
- fin janvier, les rues du 13e arrondissement s’animent avec les célébrations du Nouvel An chinois ;
- en février-mars défilent le cortège traditionnel du Carnaval de Paris et celui de la Mi-Carême ;
- fin février se déroule le salon international de l’agriculture; mars voit se tenir le salon du livre ;
- fin avril ou début mai la Foire de Paris rappelle les grands rassemblements médiévaux ;
- le marathon de Paris a lieu courant avril dans les rues de la ville
- la Gay pride en juin
- la Techno Parade en septembre.
- Le 14 juillet est l’occasion du traditionnel défilé militaire sur les Champs-Élysées et du feu d’artifice tiré depuis les jardins du Trocadéro.
- Octobre est le mois du Mondial de l’automobileles années paires qui alterne avec le mondial du deux-roues les années impaires.
- Le même mois accueille la Foire internationale d’art contemporain(FIAC).
- Le deuxième samedi d’octobre, Montmartre renoue avec son passé viticole lors de la fête des vendanges de Montmartre. Une des plus anciennes manifestations d’art à Paris est la Biennale de Paris, fondée en 1959 par André Malraux.
Si nous parlons santé, on peut dire que Paris est l’une des villes de France les plus denses en établissements hospitaliers et en médecins, qu’ils soient généralistes ou spécialistes : on comptait en 2005 pas moins de 5 840 médecins généralistes (contre par exemple 3 349 au total en Seine-Saint-Denis et dans le Val-d’Oise, à la population cumulée légèrement plus élevée).
Pour garantir et préserver l’hygiène de ses habitants, en particulier sa population défavorisée, la mairie de Paris met à sa disposition seize bains-douches municipaux, répartis dans neuf arrondissements. Ces bains-douches sont à la disposition de tous, en cabine individuelle, mais le nécessaire de toilette doit être apporté par les utilisateurs
Presse écrite
Le quotidien régional est Le Parisien . Quatre journaux gratuits sont distribués, trois le matin (minutes, Direct et Métro), un le soir (Direct Soir), et sont surtout lus dans les transports publics.
L’Officiel des spectacles et Pariscope offrent le programme culturel exhaustif de la métropole.
Cultes:
La chapelle Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse est un lieu de pèlerinage catholique.
- Catholiques: l’archidiocèse métropolitain de Paris est l’un des vingt-trois archidiocèses de France. La cathédrale Notre-Dame de Paris est la principale cathédrale du diocèse. Diocèse depuis le 3e siècle, le siège de Paris a été érigé en archidiocèse le 20 octobre 1622. L’archevêque actuel est le cardinal André Vingt-Trois qui a pour évêques auxiliaires NN. SS. Jérôme Daniel Beau, Renaud Dupont de Dinechin et Éric de Moulins-Beaufort. Il remplace à cette fonction le cardinal Jean-Marie Lustiger, archevêque de Paris de 1981 à 2005.
En 2005, la ville comptait cent-six paroisses catholiques accueillant les fidèles et vingt-quatre missions étrangères. On compte également sept églises catholiques orientales rattachées à l’ordinariat des catholiques des églises orientales résidant en France : copte, chaldéenne, grecque-melkite, maronite, roumaine, russe et syriaque. La même année, on comptait 730 prêtres, 2 500 religieuses, environ 220 communautésreligieuses (140 de femmes et environ 80 d’hommes).
Parmi les grands lieux de pèlerinage, les deux principaux sont la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre où les fidèles assurent depuis 1885 l’Adoration perpétuelle, et la chapelle Notre-Dame-de-la-Médaille-miraculeuse, où la Vierge Marie serait apparue plusieurs fois en 1830 à sainte Catherine Labouré.
- Églises évangéliques: Paris compte soixante-douze églises protestantes évangéliques de dénominations diverses.
- Protestants réformés: Paris compte quinze paroisses de l’Église réformée de France.
- Protestants luthériens: Paris compte dix paroisses de l’Église évangélique luthérienne de France.
- Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours: deux paroisses situées rue Saint-Merri dans le 4e arrondissement et rue de Romainville dans le 19e arrondissement.
- Juifs: la ville possède quatre-vingt-seize synagogues.
- Musulmans: la Grande Mosquée de Paris accueille les fidèles depuis 1926 sur plus d’un hectare de superficie, place du puits de l’Ermite dans le 5e arrondissement. La ville compte également soixante-quinze mosquées ou salles de prières se trouvant pour la plupart dans des foyers.
- Bouddhistes: un temple se situe dans le bois de Vincennes, sur la rive méridionale du lac Daumesnil, dans un ancien pavillon de l’exposition coloniale de 1931. Deux autres se trouvent dans le quartier asiatique de Paris, dans le 13e arrondissement.
- Hindouistes: un temple ouvert en 1985, dédié à Ganesh, se situe rue Pajol dans le 18e arrondissement ; il s’agit du seul lieu de culte hindouiste de Paris.
- Scientologie: un lieu de culte ainsi qu’un Celebrity Center.
- Témoins de Jéhovah: la ville compte sept lieux de culte
Paris est un centre littéraire et intellectuel avec ses bibliothèques, ses théâtres, ses salles de cinéma, ses festivals… Sans oublier sa réputation culinaire qui trouve ses fondations dans les origines diversifiées de ses habitants. Avec l’arrivée du chemin de fer au milieu du XIXe siècle et la révolution industrielle qui suivit, de nombreuses personnes de toute la France sont arrivées dans la capitale, apportant toute la diversité gastronomique des différentes régions de France et créant de nombreux restaurants de spécialités régionales, comme « Chez Jenny » pour la cuisine alsacienne et « Aux Lyonnais » pour celle de Lyon. L’immigration en provenance de pays étrangers a apporté une encore plus grande diversité culinaire et on trouve aujourd’hui à Paris, en plus d’un grand nombre d’établissements de cuisine du Maghreb ou d’Asie, des établissements proposant des préparations culinaires en provenance des cinq continents. Une autre conséquence de l’augmentation du nombre de voyageurs et de touristes dans la capitale est, dès la fin du xixe siècle, la présence de nombreux hôtels, en partie liée aux expositions universelles. Parmi les plus luxueux, l’hôtel Ritz est apparu sur la place Vendôme en 1898 et l’hôtel de Crillon a ouvert ses portes sur le côté nord de la place de la Concorde en 1909.
Paris, La joie de vivre se partage
Toute occasion de trinquer est la bienvenue pour les Franciliens qui sera un excellent prétexte pour bavarder de tout autour d’un bon verre de vin. Discuter du temps qui passe, du gouvernement, de la meilleure façon de cuisiner les champignons ou des mérites comparés des plus grands vins. Vous rencontrerez invariablement les plus grands bavards dans les cafés. Mais ils abondent aussi dans les guinguettes, les auberges de charme et sur les marchés. Là, le spectacle coloré des étals, ou chaque producteur vante à grands cris les qualités de sa tomate, de ses asperges de pays, de sa poire de Groslay…offre une approche pittoresque du terroir. Ce goût prononcé pour la bonne chère, ce sens naturel de l’échange ont forgé en Ile-de-France une solide tradition de l’accueil. Au restaurant, dans les hôtels, chez les artisans … le sourire est toujours de mise.
LA VIE DE CHÂTEAU
A la tombée du jour, un soir d’été, la lueur des chandelles peuple les jardins à la française d’ombres mystérieuses. Illuminé par des milliers de bougies, le château Vaux-le-Vicomte brille de tous ses feux. Vous voici projeté au temps de ces fêtes magiques qui jalonnèrent l’histoire. Vivre en direct ces moments forts, c’est ce que proposent désormais bon nombre d’édifices prestigieux. Bien loin de la visite traditionnelle où le conférencier présente un passé figé, la nouvelle tendance est à faire ressentir pour mieux faire comprendre. Ainsi, A Versailles ou Fontainebleau, des parcours inédits vous révèlent la vie intime de nombreux souverains, à Maisons-Laffitte ou à Ferrières en brie, ce sont des acteurs en costumes d’époque qui vous accueillent…. Un spectacle en 3D proposé par le château d’Auvers.. De nombreux musées d’Ile-de-France ont, eux aussi, mis en avant l’étonnement et le plaisir en ayant au programme : expériences inédit parcours à thèmes et animations… tous les goûts y sont satisfaits !
Mille Prétextes à la Rencontre Savoir recevoir, goût de la convivialité, sens du contact … L’art de vivre en Île-de-France
L’AMOUR DU BEAU.
Vous, les amateurs des marchés aux puces, des foires à la brocante et des petites boutiques d’antiquaires qui font de l’Ile-de-France le paradis des chineurs. Rares sont les coins de la région qui n’aient leur manifestation où vieux meubles et objets insolites viennent orner les trottoirs en les transformant en grands bazars de rue. Les gens se bousculent, discutent la qualité d’un bibelot ou la couleur d’une pièce de cuisine et s’émerveillent des proportions harmonieuses de tel bahut briard ? Sans excès toutefois, de peur de voir s’envoler les prétentions des vendeurs ! Le spectacle des artisans qui ouvrent pour les grandes marques ou travaillent à leur compte ne vous laissera pas indifférent. Dans le secret de leurs ateliers, nombre des créateurs de luxe qui réalisent des objets pour Christofle, Hermès ou John Loebb attendent votre visite. Les petits artisans vous montreront eux aussi leur tour de main, comme à la verrerie d’art de Soisy-sur-Ecole où le savoir-faire des souffleurs vous fascinera à coup sûr.
CAP SUR LA NUIT BLANCHE !
Paris-Vue générale Quand le soleil disparaît à l’horizon, c’est une tout autre ville qui naît. L’ile de France pense aux adeptes des nuits blanches qui ne s’ennuieront jamais et trouvent toujours à qui parler tout en se régalant .Au programme, tous les rythmes, toutes les fêtes pour tous les types de noctambules. Des gigantesques complexes multipostes où des milliers d’adeptes de la trance se déchaînent aux bars latinos où les plus fameux pianistes cubains enchaînent leurs mélodies chaloupées, des bars jazzy où chauffe l’ambiance aux boîtes de house accueillant les DJ du monde entier venus mixer leurs tubes, en passant par les clubs africains, salsa, raïou, plus couleur locale, java… Tendance psychédélique, disco, underground, pop ? A vous de voir : tout est possible ! Jeux de lumières en 3D, soirées à thème, méga raves …Dans la série « pince-moi je rêve »… vous êtes loin d’avoir tout vu !